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Commentaires
J'ajouterai que c'est une forme de résistance : les blagues à caractère politique ou social (se moquer des puissants, de la la corruption...) sont une forme de critique par la dérision. Les despotes et dictateurs manquent d'humour, c'est bien connu. C'est aussi, je pense une forme de résistance psychologique des peuples à leurs malheurs et difficultés de tous les jours sur le mode "mieux vaut en rire", un échappatoire.
Allez, je vous livre une blague de Zarganar, le "Coluche birman" citoyen d'une solide dictature.
Un Birman ordinaire lit son journal, et soudain tombe de sa chaise violemment, comme électrocuté. Commentaire : la seule fois où le citoyen ordinaire a la preuve que l'électricité fonctionne dans le pays, c'est en parcourant du doigt le journal [pour la compréhension : le journal d'Etat fait fréquemment l'éloge de l'inauguration de telle centrale électrique par tel ministre, qui n'existe sans doute que sur le papier puisque la lumière n'est toujours pas parvenue dans pas mal de villages et campagnes]