- Emmanuel Hoog, président-directeur général de l'INA (Institut national de l'audiovisuel), l'organisme qui est en charge en France de la préservation et de la gestion des archives audiovisuelles
- Henri Chamoux, historien et chercheur spécialiste des débuts de l'histoire des enregistrements sonores et créateur du site l'archéophone
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Commentaires
Vos questions arrivent malheureusement un peu tardivement. L'émission a déjà été enregistrée et diffusée. Vous pouvez l'écouter ici.
Mais se posent trois questions :
1. Sur quel support ? On revient de l'idée que le CD a une durée de vie infinie. Le papier ou la parchemin serait-il, dans l'état actuel des connnaissances, le meilleur support ?
2. Avec quel lecteur, quel standard ? Ils deviennent si vite obsolètes et ils sont tellement dépendants du marché, des marques ou des modes... De nouveau, ne vaut-il pas mieux avoir un support qui ne demande aucun matériel obligatoire pour la lecture ?
3. Pour quelle lecture ? Une lecture réservée à un panel trié sur le volet qui détiendrait connaissance et pouvoir ne me convient pas. Alors comment la rendre accessible au plus grand nombre et comment rendre le plus grad nombre à même d'en profiter (Culture, formation... Et support pratique)
Toutes ces questions, et bien d 'autres, sont en jeu dans ce cadre. Il dépasse la question pratique et pose de réelles questions éthiques.
Marianne
Est ce que les supports audiovisuels que nous enrégistrons et produisons aujourd'hui peuvent être lu et adapter avec les nouveaux composants numériques de demain? seront-ils compatibles avec les avancées de techniques numériques et electronique du futur?
Je lis dans sous le billet d'Embruns sur cet enregistrement le commentaire d’un autre blogueur GreG qui signale que "la plus ancienne page web conservée. date , tenez-vous bien, du 11 mars de l'an de grâce 1992."
Il y a 16 ans. il est curieux de voir ce qu’il en est comment la toile s’est transformé. Pour ma part je note que la deuxième page du web comporte 10 liens.
Au 2 avril 2008 on trouve 27 300 résultats dans google pour Édouard-Léon Scott de Martinville
Et 206 000 pages pour le fait qu’une présentatrice sur la BBC a éclaté de rire
Le fait qu’il est impossible, au-delà des 1er pages de résultat, d’être certain que toutes ces occurrences ont un rapport avec le sujet recherché est périphérique. C'est une limitation mais qui sera surmonté très probablement dans les années qui viennent. Reste que le réseau a une vocation globalisante et universelle.