Dernier jour à Oyo, avant d'aller reprendre le bus en direction de Brazzaville, je salue les pécheurs dont on aperçoit les pirogues sur le côté droit et je me dirige vers la partie de l'eau où se trouve les mamy-wata (sirène) auxquels j'ai un mot à dire avant de partir. Sourires !
Commentaires
Visitant Oyo au pas de course, je n'ai pas eu le temps de passer par là. Tu as vraiment eu de la chance, toi!!!
Tu ne nous as toujours pas dit ce que les mamies-wata t'ont dit...
Obambé